Avant d’aborder le sujet de la conception, juste une petite révision sur l’« anatomie » :
L’être humain est constitué de plusieurs parties.
- Il y a en premier lieu l’âme qui régit le mental. C’est elle qui tient les commandes.
- Cette âme est revêtue d’une enveloppe, le périsprit, qui lui sert d’émetteur et de récepteur.
- Comme ces deux éléments relèvent du spirituel et du semi-matériel, ils ne peuvent pas habiter directement le corps humain, qui lui, relève du matériel. Il leur faut donc un intermédiaire, le corps vital, composé de fluide universel.
- Et le tout, va aller s’incorporer dans l’enveloppe charnelle ou corps physique.
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Pour commencer le processus de la grossesse, il faut impérativement qu’il y ait syntonie indissoluble entre la future mère et l’enfant à naître. S’il n’y a pas superposition des vibrations entre les deux individus, rien ne se passera.
L’Esprit influence la matrice maternelle. En fonction des effets de ses irradiations, la mère pourra se sentir dans la joie et l’harmonie. C’est pour cela que certaines femmes adorent être enceinte car elles ont l’impression d’être en extase permanente. Par contre, l’inverse peut se produire et provoquer des angoisses, allant jusqu’à donner l’envie de se suicider.
Car, c’est pendant la grossesse que la loi de cause à effet des vies antérieures va commencer entre la mère et le futur enfant. L’amour, la haine et autres sentiments vont s’extérioriser par le biais des vibrations du périsprit de l’un et de l’autre.
C’est entre autre pour ceci que l’Esprit s’incarnant subit progressivement le « voile de l’oubli ». Il pourra agir en son âme et conscience sans rancœur, sans honte, ou autres sentiments qui pourraient nuire à son évolution. Et, le refus de son incarnation au dernier moment sera évité, en cas de gros contentieux avec les futurs parents.
Lorsque le moment de la réincarnation est arrivé, un lien fluidique se dégage du périsprit de l’Esprit, comme attiré par un aimant, et va se raccorder directement au germe, et ce, dès l’instant de la conception. C’est de molécule à molécule qu'il va s’unir en « s’enracinant » dans le corps physique en formation. Au fur et à mesure que le germe va se développer, le lien qui les unit va se renforcer.
C’est petit à petit, sous l’influence de « courants électromagnétiques » émanant du corps de la mère (via son propre périsprit), que le périsprit de l’Esprit à naître va se réduire en perdant une partie des fluides le constituant. En contre partie, il va assimiler d’autres fluides du plan matériel qui constitueront son corps vital, grâce aux flux sanguins du corps physique de la mère.
Pendant cette formation, en fonction des aptitudes acquises au fur et à mesure de ses incarnations, l’Esprit va « fabriquer » l’enveloppe charnelle appropriée à sa nouvelle vie, pour les besoins de celle-ci, en utilisant les potentiels génétiques des parents via le germe (union de l’ovule et du spermatozoïde). Ce qui explique les ressemblances corporelles, les similitudes de physionomie au sein d’une même famille.
Pour les Esprits les moins évolués ou pour les « cas » compliqués, il y a intervention du plan spirituel pour parer aux difficultés rencontrées.
Pendant la « structuration », un trouble qui va croissant, va s’emparer alors de l’Esprit le faisant perdre peu à peu conscience de lui-même. Les vibrations de son périsprit vont diminuer jusqu’à ce que le souvenir de son passé (de ses vies antérieures) disparaisse. Cependant, parfois ça arrive, il peut en conserver une vague intuition.
C’est lorsque le fœtus est complètement développé que l’union de l’Esprit et du corps est complète. Et là, l’heure de la naissance est arrivée.
Dès sa première respiration dans le corps physique, l’Esprit (qui s’appelle maintenant l’âme) recouvre ses facultés, ses qualités, ses aptitudes, acquises dans ses vies antérieures mais elles se développeront progressivement en même temps que ses organes physiques.